jeudi 21 juillet 2016

raison d'oppression

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Pts


Même la personnalité antisociale, à sa façon tordue, est tout à fait certaine d’agir pour le mieux et se considère d’ordinaire comme la seule personne bienveillante aux alentours à agir pour le bien de tous. La seule faille à son raisonnement est que si l’on tue tout le monde, il ne restera plus personne à protéger de ces maux imaginaires. La seule méthode pour reconnaître la personne sociale ou la personne antisociale consiste à observer leur comportement dans leur milieu et vis-à-vis de leurs semblables. Leurs motivations personnelles restent semblables : se préserver et survivre. Elles suivent simplement des voies différentes pour y parvenir.
Donc, l’Homme n’étant naturellement ni calme ni brave, chacun tend, dans une certaine mesure, à se tenir sur ses gardes par rapport aux personnes dangereuses et c’est ainsi que peut commencer la chasse aux sorcières.
C’est pourquoi il est encore plus important de pouvoir reconnaître la personnalité sociale que de reconnaître la personnalité antisociale. On évitera ainsi d’abattre l’innocent sur la base de simples préjugés, par antipathie ou à cause d’un écart de conduite momentané.
Le moyen le plus simple de définir la personnalité sociale est de la comparer à son opposé, la personnalité antisociale.
La distinction est facilement faite et il ne faudrait pas concevoir un test qui ne serve qu’à isoler l’antisocial. Les bons côtés comme les mauvais côtés des actions de l’Homme doivent apparaître sur le même test.

Un test qui ne mettrait en évidence que la personnalité antisociale sans pouvoir également identifier la personnalité sociale serait en lui-même un test oppressif. Ce serait comme d’exiger une réponse par « oui » ou par « non » à la question : « Battez-vous toujours votre femme ? » Interrogé de cette façon, n’importe qui pourrait être déclaré coupable. Cette méthode aurait sans doute pu être adoptée du temps del’Inquisition, mais elle ne répond pas à nos besoins modernes.
Puisque la société n’évolue, ne prospère et ne vit que grâce aux efforts des personnalités sociales, il est impératif de savoir les reconnaître puisque ce sont elles, et non les antisociaux, qui sont les gens valables. Ce sont ces gens-là qui doivent avoir des droits et des libertés. On ne doit s’intéresser à l’antisocial que dans le but de protéger et d’aider les personnalités sociales au sein de la société.
Les règles établies par la majorité, les grandes idées civilisatrices, voire la race humaine entière finiront toutes par disparaître à moins qu’on ne parvienne à identifier et à contrecarrer les personnalités antisociales pour pouvoir aider et favoriser les personnalités sociales dans la société. Car le mot même de « société » implique un comportement social en l’absence duquel aucune société ne saurait exister, seulement un état de barbarie où tous les hommes, bons ou mauvais, seraient en danger.
L’inconvénient, quand on explique comment reconnaître les gens malfaisants, c’est que ceux-ci attribuent ensuite ces caractéristiques aux honnêtes gens dans le but de les faire traquer et supprimer.


1. La personnalité sociale relate précisément les faits. « Jean Dupont a dit que… », « LeJournal du mardi rapporte que… ». Elle donne la source de ses informations dans la mesure du possible et lorsque c’est important.
Il est possible qu’elle utilise des généralités comme « ils » ou « les gens », mais rarement pour leur attribuer des propos ou des opinions de nature alarmante.
2. La personnalité sociale s’empresse de transmettre les bonnes nouvelles et répugne à transmettre les mauvaises.
Elle ne prendra peut-être même pas la peine de transmettre des critiques lorsque ce n’est pas important.
Elle préfère faire en sorte que les autres se sentent aimés ou désirés plutôt que rejetés, et aura tendance à trop rassurer plutôt qu’à trop critiquer.
3. La personnalité sociale transmet les communications sans beaucoup de modifications, et si elle omet quelque chose, il s’agira plutôt des sujets blessants.
Elle n’aime pas froisser les sentiments d’autrui. Parfois elle fera l’erreur de garder pour elle les mauvaises nouvelles ou les ordres qui lui sembleront critiques ou durs.
4. Les traitements et les actions entrepris pour qu’elle s’améliore donnent de très bons résultats sur elle.
Bien que l’individu antisocial promette parfois de s’améliorer, il ne le fait pas. Seule la personnalité sociale peut changer ou s’améliorer facilement.
Il suffit souvent d’indiquer à une personnalité sociale que son comportement est indésirable pour qu’elle en change radicalement pour le mieux.
La personnalité sociale n’a pas besoin de code pénal ni autres châtiments violents pour réglementer sa conduite.
5. Les amis et associés de la personnalité sociale ont tendance à être en bonne santé, heureux et à avoir bon moral.
Une personne vraiment sociale contribue très souvent par sa seule présence à aider les autres à recouvrer une meilleure santé ou à réussir davantage.
En tout cas, elle ne fait pas baisser le moral ni ne dégrade la santé de ses associés.
Quand elle est malade, elle guérit ou se rétablit comme prévu et réagit bien aux traitements efficaces.
6. Quand quelque chose a besoin d’être corrigé, la personnalité sociale s’en prend généralement à la bonne cible. Elle répare le pneu crevé plutôt que de s’en prendre au pare-brise. Dans le domaine de la mécanique, elle peut donc réparer les choses et les faire fonctionner.
7. Quand c’est possible, la personnalité sociale termine d’ordinaire les cycles d’action qu’elle a commencés.
8. La personnalité sociale a honte de ses méfaits et répugne à les confesser. Elle assume la responsabilité de ses erreurs.
9. La personnalité sociale soutient les groupes constructifs et tend à protester contre les groupes destructifs ou à s’y opposer.
10. La personnalité sociale proteste contre les actions destructives. Elle favorise les actions constructives ou utiles.
11. La personnalité sociale aide les autres et s’oppose activement aux actes qui portent préjudice aux autres.
12. La propriété est la propriété de quelqu’un pour la personnalité sociale, et elle empêchera ou désapprouvera le vol ou l’abus des biens d’autrui.


La motivation fondamentale

La personne sociale agit spontanément en fonction du plus grand bien.
Elle n’est pas hantée par des ennemis imaginaires, mais reconnaît les vrais ennemis quand ils existent.
La personnalité sociale veut survivre et veut que les autres survivent, alors que la personnalité antisociale, en réalité, souhaite secrètement que les autres succombent.
Au fond, la personnalité sociale souhaite le bonheur et la réussite de son prochain, alors que l’antisocial déploiera des trésors d’ingéniosité pour rendre les autres très malheureux.
Ce qui permet fondamentalement de reconnaître la personnalité sociale, ce n’est pas vraiment le fait qu’elle réussisse, mais plutôt ses motivations. En effet, la personnalité sociale, lorsqu’elle réussit, est souvent prise pour cible par la personnalité antisociale, ce qui la fait parfois échouer. Mais elle souhaite que sa réussite profite aussi aux autres, alors que l’antisocial ne se réjouit que de les voir condamnés à la déchéance.

Mais il y a ceux qui essaient de bien agir et ceux qui se spécialisent dans le mal, et les faits et caractéristiques qui précèdent vous permettront de les reconnaître.



personne oppressive : (aussi appelée personne suppressive, abréviation SP, de l’anglais « Suppressive Person ») personne cherchant à opprimer ou écraser toute activité ou groupe voué à l’amélioration des conditions de vie. Une personne suppressive opprime les autres autour d’elle. Son comportement est calculé pour provoquer des catastrophes. Les expressions « personne oppressive » (ou « personne suppressive ») et « personnalité antisociale » sont équivalentes.

Source potentielle d’ennuis : (abréviation PTS, de l’anglais « Potential Trouble Source ») personne liée d’une façon ou d’une autre à une personne oppressive et subissant son influence. On l’appelle source potentielle d’ennuis parce qu’elle peut être source de beaucoup d’ennuis, non seulement pour elle-même, mais aussi pour les autres.